Bien que la science ne soit pas le premier élément auquel on pense en réfléchissant au développement d’un jeu vidéo, elle en est pourtant une partie essentielle. En effet, que ce soit par rapport au codage du jeu ou au mouvement d’un personnage, la science joue un rôle très important dans l’aspect final qu’à un jeu et dans le plaisir qu’à un public à y jouer. Certaines boites des productions vont même jusqu’à faire appel à des scientifiques lors de la conception de leur jeux afin de pouvoir reproduire le plus fidèlement possible une situation de la réalité (tel que les gestes animaliers, humains, les changements météorologiques ou encore la trajectoire d’une balle, d’un objet). Dans certains cas, les jeux vidéos peuvent également avoir un scénario qui réfère à une situation plausible ou en lien direct avec des analyses scientifiques (le comportement, un virus, une technologie, …).

En l’occurrence, The Last Of Us est un jeu qui à demander des années de recherches autour du mouvement physique afin d’obtenir un résultat à ce point réaliste. La modélisation de tous les éléments et les graphismes ont été travaillé pour qu’ils donnent une ambiance apocalyptique en 3D. De plus, l’histoire traite d’un virus contagieux ayant atteint une grande partie de la population et provoqué des milliers de morts. Ce scénario, bien que poussé à l’extrême, c’est avéré plus que possible après les dernières années de pandémie Covid que le monde a connu. Il nous amène à réfléchir sur l’importance que peuvent avoir les théories du futur contenues dans les jeux vidéos, sur le monde réel.

Le prompt art est considéré comme une révolution qui touche à la fois l’art et les intelligences artificielles. Les IA sont alors utilisés pour générer une image à partir de textes, de lègendes ou de simple mots-clés. C’est rendu possible grâce à une série d’algorithmes qui traite l’information renseignée et recherche sur le net un maximum de références. Cette pratique, utilisée dans un premier temps par la communauté internet, se révèle très prometteuses puisqu’elle s’ouvre à différents usages et permet de varier les représentations. Par exemple, les médias et le cinéma ont accepté cette nouvelle forme d’art pourtant à l’origine très controversée. De nos jours on trouve même des œuvres générés par le prompt art qui participent à des concours ou des enchères aux mêmes titres que toutes les autres. C’est le cas pour Théâtre d’opéra Spatial, la première œuvre générée par un logiciel numérique ayant gagné un concours. Toutefois, un nouveau problème se pose quant à leur utilisation : à qui doit-on les œuvres générées ?

C’est à l’aide de faisceaux lumineux et d’un rideau de brume, que Ann Véronica Janssens a réalisé en 2001 ce projet. Questionnant le vide, l’immatériel et le palpable, cette réalisation in situ propose aux spectateurs une expérience immersive. Ces derniers se baladent à travers un bloc composé essentiellement d’air mais qui arrive pourtant à produire un splendide effet visuelle par ses jeux de couleurs et de lumières. L’artiste travaille ainsi sur les particules invisibles à l’œil nu, les états de la matière (lumière sous forme liquide, gazeuse ou solide) et les couleurs ; en somme sur les formes éphémères que l’on ne peut saisir. Ces différentes recherches et experiences témoignent d’un intérêt certain pour la science, qu’elle partage à ses spectateurs.

Ce film de science-fiction américain traite d’un futur proche où une guerre éclaterait entre humains et IA pour décider de la liberté des IA. Avec un montage et des effets spéciaux très poussés il nous amène à questionner la place que prennent les IA (et de manières générales les technologies) dans nos vie. Lors de l’écriture du scénario, on sent qu’un travail approfondi autour des sensations et des émotions que nous procure le film ont été faits. Finalement le film illustre le fruit de la science pour mieux sensibiliser à ses conséquences. Conséquences d’un futur plus proche que ce se que l’ont a tendance à croire.

Bannière réalisée par la marque D&G pour annoncer son entrée et sa participation à la Fashion week de la métavers de 2023. Depuis quelques années, le monde de la mode a su s’ouvrir à un nouveau moyen pour les marques de partager et promouvoir leurs nouvelles collections en utilisant le métavers. Ce métavers permet ainsi de communiquer avec un plus large publique, le tout en utilisant l’univers appelé “Decentraland”.