Alors que les formations d’études supérieures consacrées à la littérature, aux langues et aux cultures de l’Antiquité se raréfient, cloisonnant la discipline, certain·e·s chercheur·se·s de la communauté des humanités — dont les Humanités numériques — œuvrent à l’établissement d’un dialogue avec ces langues dites « mortes », considérant l’Antiquité comme un répertoire offrant