Portfolio de Héloïse/Mars
2nde 6
SOMMAIRE

Poèmes…

J'écris beaucoup de poèmes. Certains pour des personnes en particulier, d'autres pour moi.

J'en écris des romantiques, comme des platoniques, comme des engagés ou comme des osés…

Mais ce que je n'ose pas faire c'est tous les poster.

Alors appréciez ceux que j'ai réussi à publier.

Posted by Aelin
J'ai rencontré un mascara aujourd'hui,
C'est un joli mascara, autant d'extérieur que d'intérieur.
Et comme un rien on s'est mutuellement séduit.
Un gain de temps, sans s'en rendre compte, ce mascara avait des don de guérisseur.
Il me fait des beaux yeux sans alourdir mes cils.
J'aime beaucoup ce mascara, avec lui rester semble moins difficile.
J'ai revue ce mascara il y a peu,
De tout les côtés ou points de vu, toujours aussi sublime.
Pour un rien, de nos bouches sortent des rires, on est bien tout les deux.
Quand on se regardent dans les yeux, nos pupilles s'illuminent.
On s'est complimenté à longueur de journée, a chaque fois il avait rougis.
Alors je crois que je lui plaît aussi.
Le soir même on parlait ce langage indescriptible.
Entre nous, toujours cette même alchimie indélébile.
On a parlé cette langue, que seuls nous comprenons.
On se regarde, de ce même air de compassion.
Il m'a dit qu'il me voulait,
Et tout le reste qui s'en écoulait.
Il était tard, je lui ai dit la même chose.
Je n'ai jamais porté de mascara avant, ça ne m'avait pas intéressé, j'ai sincèrement cru une métamorphose.
J'ai a nouveau revu le mascara,
J'ai voulu le tester, pour qu'à la fin il n'y ai plus place au débat.
Mon mascara me crée toujours un aussi beau regard.
Il est d'ailleurs, toujours une des plus belle œuvre d'art.
Or le test n'a pas été concluant,
Et puis être a la recherche de maquillage et de mascara avec le temps c'est épuisant.
Mais au fond de moi,
Je sais que, n'est responsable de ce sentiment, ni ça ni ton joli minois.
Je sais que j'aimerais avoir du maquillage,
Et que ce mascara est très joli, mais je déprime.
Ne serait ce que des enfantillages ?
Ou peut être serait ce un crime ?
Si je vous dit,
Que le mascara n'est pas mon âme sœur,
Ce matin j'ai croisé cet eyeliner.
Et elle est celui, par malheur,
Qui a fait accélérer les battements de mon cœur.
-Mascara
Posted by Aelin

Pupille hazel,
rencontre éternelle,
Sentiments étranges vu comme une évidence,
Prend ma main, accordons nous cette danse.
Visage si joli, semblable à une aquarelle.
Noyade infinie, a travers ses yeux se percevait une étincelle.
Rire éclatant, qui me fait rire à mon tour.
Je rêve que les mots que tu me dis ne soit pas qu'un beau discours.
-Noyade
Posted by Aelin
Écrit moi des mots qui te plaisent,
T'entendre est un privilège, il n'y a que toi qui me met à l'aise.
Dit moi ce que tu veux,
Regarde moi dans les yeux,
Je buverai tes mots,
Pour une fois que rien ne semble faux.
Sachez monsieur le musicien,
Que tout les bons moments n'ont pas a avoir une fin.
-Eclat
Posted by Aelin
Quand tu poses tes yeux sur moi,
C'est comme si pour la première fois le soleil effleurait ma peau,
C'est près de toi que je ressens de la joie,
Cette émotion, que rare ressentent, a surgit tel un ruisseau.
Calme, limpide, imprevisible.
Je me souviens de la manière dont j'essayais de fuir la réalité.
C'était moins désagréable que ce que je pensais, quand tu m'y a ramené.
-Réalité
Posted by Aelin
L'herbe dans mes cheveux, je crois qu'elle est dans les tien aussi.
Effleurant ma main, on en a tant rêvé d'être ici.
Vois tu la constellation du loup?
J'avais l'habitude de t'appeler mon doux.
On m'avait dit que pointer du doigt était malpoli,
Mais lorsque cette étoile tu pointes, je souris.
J'aurais aimé que ce moment dure l'éternité,
Or vois tu joli cœur d'autres vies ensemble nous sont destinées.
-Étoile
Posted by Aelin
Il y avait cette fille toute seule assise sur le muret,
A chaque froide matinée d'automne, dans son coin elle murmurait,
Des mots insensés et des chansons romantiques,
Aucunes journée, sans la musique, n'était pour la fille fumette, assez fantastique.
Elle relevait sa tête lentement vers le ciel,
Sa bouche couverte de rouge a lèvre artificiel,
Elle en sortait toujours sa clope habituelle.
Encore allumée,
Elle la tenait de ses habilles mains manucurées.
Ensuite la fille soufflait de la brume teinté,
Qui se dispersait a vitesse grand V dans l'air gelé.
La fille fumette tenait son surnom de ses milles mégots à la journée,
En plein cours elle asphyxiait,
Sortant de classe les larmes aux yeux, elle finissait souvent par pleurer.
Encore et toujours sur le muret.
Elle allumait sa clope, et ses pleurs faisait marche arrière,
Essuyant leur miettes avec sa chevalière,
Quelques jours plus tard, elle retournait au lycée.
En classe, elle se sentait a nouveau oppressée,
Peinant a respirer, affreusement angoissée,
Elle avait trottiné jusqu'à la porte, s'empressant en sortant de la claquer.
Rattrapée par ses souvenirs, elle faisait brûler sa cigarette et sa respiration se calmait.
Éternelle fillette hantée par son vécut affreusement laid,
La fille fumette soufflait la fumée loin, figure de petite fille rattrapée par ce passé qu'elle voulait chasser.
-La fille fumette
Posted by Aelin
Arrivant d'un pas timide, fleur a la main,
Tu avais d'or et déjà choisi notre destin,
Quelques fleurs choisis avec le cœur.
Arrachée a leur terre, malgré leurs beautés, elles se meurent.
Merveilles de la nature éternellement éphémère,
Si jolies mais tout sauf linéaires,
Tu m'avais certes accueilli d'un bouquet.
Mais moi ce que je préfère c'est d'entendre ta voix me parler,
Alors que toute ouïe, ta voix est la seule que je veuille écouter.
-Fleur
Posted by Aelin
La vie est injuste,
Suicide toi ou va au delà.
Rageante peinture,
Que ma colère continuera de peindre jusqu'à la fin d'un coup de crayon maladroit.
Huile sur toile a l'arrière gout de sang,
Quand on passe devant, a chier est ce ressentiment.
Mais arrêtons dont d'être à ce point la à l'aise, réel et osé,
Nous crie cette foutue société,
Diantre,
Sacrebleu,
Ou saperlipopette,
Voilà des mots qui passeraient bien mieux, même si tout tremble et s'avère être foutrement malhonnête.
Mais bon de tout ce qui nous reste ici bas, il y a t'il une place pour une honnêteté si peu coquette?
-Société

Posted by Aelin
Ici vous êtes au milieu de rien,
Ce petit passage entre deux musique qui va et vient,
Puis reviens,
Petite intervention qui éternellement survient,
Sans jamais servir à rien.
Peut-être que c'est ici que remet sa vie en question le musicien?
Le p'tit gauchaux qui trime pour que dalle à la fin,
"Fait comptable p'tit con, pour manger à ta faim."
Avait dit maman sur son ton parisien.
Mais le p'tit con n'écouta pas sa mère et son air ancien.
Préférant vivre de sa passion pour gagner de l'argent, il décida de faire du son pour trouver les moyens.
Désormais le p'tit musicien, pour gagner sa vie, roulait des joins,
Les grands mères le traitent, le sourire aux lèvres, de p'tit vauriens,
Il était dans son monde, dans sa bulle, sur la lune qui se reflétait dans sa pupille,
Il a pourtant toujours été ici le p'tit terrien.
Maman ne parle pas de lui au repas de famille,
Et puis lui aux repas de famille jamais ne vient.
-Interlude
Posted by Aelin