Ici j’ai pu créer une publicité pour les cigarettes de la marque Winston. Cette affiche utilise l’oxymore « Vivre tue » pour permettre de promouvoir cette marque. La figure de style associe donc deux mots opposés : « vivre » et « tue ». Cette contradiction permet donc d’appuyer sur le faite que fumer peut faire vivre, puisque la cigarette procure chez certain un plaisir. Cet oxymore démontre également que vivre tue un jour ou l’autre, c’est pour cela que la cigarette n’est pas forcément un déclencheur de la mort. De nos jours beaucoup d’autre éléments amènes à la mort notamment de vivre.
La publicité va permettre alors de susciter l’attention des consommateurs et des individus qui vont percevoir cette affiche. Cette attention va faire réfléchir le consommateur et c’est ce qui va permettre une bonne promotion de de la marque. Nous savons qu’une bonne publicité est une publicité qui reste en mémoire et c’est le cas de cette affiche de la marque Winston.
Donc, ce support de communication va permettre de communiquer efficacement grâce à cet oxymore surprenant.
Romane LEBEAULT
L’oxymore est une figure de style qui consiste à réunir deux mots inattendu de sens contradictoire.
Les grandes sociétés telles que Coca Cola on eu une démarche commerciale mondiale agressive dont l’objectif était de trouver leurs produits partout dans le monde même dans les pays les plus pauvres. L’aura du produit est devenue si importante que tout le monde voulait en consommer au moins une fois, ce qui était l’objectif de la marque. Ils se sont même servi d’un symbole d’une période religieuse en choisissant le père noël comme effigie.
J’ai alors décidé de pousser l’idée un peu plus loin en utilisant cette fois-ci comme figure le Saint Nicolas qui offre des bouteilles de coca aux enfants à la place de cadeaux, ce qui montre que la marque a perverti le monde en détournant des esprits saints. Nous pouvons également y voir le petit garçon sur la gauche de l’écran cacher derrière son dos une bouteille de coca-cola afin d’en avoir une en plus. Le Saint Nicolas en est donc lui même réduit à offrir du coca aux enfants tant il est devenu, à leurs yeux, un produit de désire.